Face aux bouleversements économiques, sociaux et environnementaux, les entreprises sont soumises à des injonctions contradictoires qui les amènent à redéfinir leur rôle dans la société et à s’interroger sur la responsabilité de l’entreprise vis-à-vis de ses diverses parties-prenantes : les dirigeants, les salariés, les actionnaires, mais aussi ses partenaires et la collectivité dans son ensemble. L’objectif doit être, pour celle-ci, de s’appuyer sur une gouvernance capable de conjuguer les intérêts parfois contradictoires de ses parties prenantes, pour proposer une vision stratégique partagée.

C’est tout le sens de l’avis « Performance et Gouvernance de l’Entreprise » de la section des activités économiques du CESE présidée par Jean-Louis Schilansky (Groupe des Entreprises), et rapporté par Amélie Rafael (Groupe de la Coopération) qui a été voté ce jour en séance plénière avec 172 votants : 144 voix pour, 11 voix contre et 17 abstentions.